A vos jupes, prêtes, militez ? Aujourd’hui, c’est la journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes. La France en a fait une cause nationale. Le collectif « Ni putes, ni soumises » a appelé les femmes à se mettre toutes en jupe en signe de protestation. Paradoxal.

Les féministes de la première heure s’armaient de pantalons et militaient pour le droit des femmes. Une ordonnace qui date de 1800, interdit à nos ancêtres de porter ces habits dans l’Hexagone. L’ordonnace n’a jamais été abrogée d’ailleurs. La société et la mode ont évolué. Les dames ont conquis le pantalon.
Que l’on porte une jupe ou non, certaines mentalités n’ont pas changé. C’est ce qui explique une historienne des femmes et du féminisme dans un article paru aujourd’hui dans Libération.
« Conscience féminine »
Mon entourage et moi même avons répondu à l’appel du collectif. On n’était pas 100 % à avoir laissé nos jeans au placard. Ce n’est pas par manque de « conscience féminine », pour notre génération, le combat est ailleurs. Au XXI siècle des hommes osent encore dire que les viols qu’ils commettent sont la faute des filles. Leur garde-robe serait trop provocatrice. Incompréhensible. Dans certains quartiers difficiles, les filles sont traitées systématiquement de « putes » dès qu’elles découvrent un peu leurs jambes.
La symbolique de la jupe est forte. Mais ce n’est pas un morceau de tissu qui va nous libérer des violences physiques et psychologiques. Hier c’était un pantalon, aujourd’hui la jupe, demain ce sera peut-être la coiffure. Les cheveux sont synonyme de féminité.
650 000 femmes ont été victimes de la violence de genre comme on dit en Espagne. Ce qu’on met pour les défendre c’est le moindre de leurs soucis.
Au Mexique, environ 205 femmes sont assassinées tous les ans par leurs partenaires
Les plus petits sont les victimes collatérales de cette violence : 800 000 enfants en font les frais en Espagne.
25% des femmes de l’Union Européenne sont maltraitées au moins une fois dans leur vie.
La violencia, venga de donde venga, es un signo de miedo, incapacidad mental, ignorancia, intolerancia y que se yo de toda la derivación psicológica que ello implica. Parto nuevamente de una tésis, que quiza es ya un compendio de largas lecturas y procesos de información, vuelvo a la educación básica, desde casa, eso si, de padres saludables, y es el centro de mi reflexión. Quiza los padres saludables mentalmente y no al 100% por que eso sería ideal, forman hijos igualmente saludables mentalmente, o al menos esa sería la lógica. En el camino a lo largo de la vida, no somos entrenados y repito, entrenados a discutir pacificamente, perece que la naturaleza es imponer la fuerza, desde lo verbal hasta y emocional, hasta lo físico y mental, entonces, cualquiera que sea las lineas de creencia, nivel socioeconómico, principios de conducrta, desarrollo intelectual, hay debilidades mentales que alteran la estabilidad y sin dar tiempo las hormonas interfieren comportamientos saludables, esto con los cinco sentidos, no se diga cuando estan bajo influencia de narcóticos, medicinas o enfermedades. En fin, un día de protesta por lo menos incita y divulga la necesidad de soluciones, y no estan en la calle, estan en casa y desde la cuna, con padres saludables y eso cada vez es más escaso. El movimiento mundial y permanente, y le apuesto a esta tesis, es fomentar familias integras y saludables. Apuesto 1 moneda por eso!!!