Le pape François conclut ce mercredi sa visite de cinq jours au Mexique. Fidèle à lui-même, « le pape des pauvres », n’a épargné ni les politiques corrompus ni la haute hiérarchie ecclésiastique proche du pouvoir. La fermeté papale peut-elle faire bouger les lignes de ce pays rongé par la violence et les inégalités ?