C’est comme un sac de fille, on y trouve de tout et de rien. C’est un grand foutoir et toujours très révélateur d’une personnalité.
Le marché de Brest est comme tous les marchés. Il y a les produits locaux, les produits bio ultra-locaux, des traiteurs asiatiques et des vendeurs de fringues. Mais de temps en temps, on tombe sur une personne qui ne ressemble pas à la clientèle habituelle. Une personne comme cette fille qui se tient, là, un bouquet de fleurs à la main.
Source: onlineuniversities.com via Fraile y Blanco on Pinterest
Au pays de Descartes, la logique ne fait pas toujours loi. Quand on ouvre un compte bancaire pour la première fois, comme un grand, on habite souvent chez ses parents. Mais on va bientôt voler de ses propres ailes et commencer une nouvelle vie loin de Pétaouchnok. Très vite on se rend compte que peu importe l’endroit où on déménage, il y a quelques chose qui nous fait toujours reprendre le chemin du retour. La banque. Lire la suite
Il y a des jours où le nombre de visites d’un blog explose. Quand le
blogueur, fou de joie, observe de plus près la raison pour laquelle des internautes ont cliqué sur son site, il y a souvent moins de raisons de se réjouir.
Selon sa plate-forme, le blogueur peut savoir combien de lecteurs uniques ont lu son dernier billet, combien de personnes ont jeté un petit coup d’œil sur son site ce dernier mois.
Il scrute les courbes de fréquentation. Et de temps en temps la petite bonne nouvelle, que tout auteur cybernétique attend, arrive : le pique de fréquentation. Ce jour incroyablement bon où les visites ont explosé. Ce moment réconfortant où l’auteur anonyme se dit qu’il n’écrit pas dans le vent. Lire la suite
Pas besoin d’une application controversée. Un Français se reconnaît très facilement et ce n’est pas grâce à son béret rouge ou à sa baguette sous les bras, c’est un peu plus subtile que ça. Petit guide pratique.
La couleur, la religion ou l’ancienneté sur le sol français ne sont pas des critères pour reconnaître un Français. Il faut plutôt faire attention à l’attitude, à la gestuelle. Il n’y a qu’en France que des gens se frottent la joue avec les doigts pour montrer qu’ils s’ennuient.
Un autre bon moyen de reconnaître un Gaulois c’est de faire très attention à l’air qu’il expulse par la bouche en faisant pfff. C’est une forme d’exprimer son mécontentement et bien d’autres choses. Un bruit parmi bien d’autres appartenant à la langue française qui est plus éloquent que les mots. Lire la suite
Du quartier parisien de la Défense au centre-ville de Lille, ils sont toujours là. L’hiver, on les trouve au coin d’une rue, à la sortie d’un magasin ou devant chez soi. Toujours solitaire et recroquevillé, le gant perdu subi le froid. Les propriétaires égarent rarement la paire. Lire la suite
Temps et distance. Je fais la pendule, un pied sur Paris, l’autre sur Lille. J’ai quitté la ville du désamour il y a plus de six mois, le recul change les perceptions. Quand on est Parisien, d’adoption, on peut en dire du mal car « le Parisien n’aime rien ». Au fond, il vénère son île.
Voici un petit compte rendu de la part de WordPress sur la santé du blog de Florencia. Apparemment il est « on fire », autrement dit, le blog est chaud comme une baraque à frites (expression apprise dans le Nord). Merci à tous et bonne année 2011 ! Désolée pour l’anglais, Mr. WordPress a décidé de s’adresser à moi ainsi, je n’ai pas voulu altérer ses propos avec une traduction approximative.
La langue espagnole est riche en expressions. Tous les jours, on les utilise et on ne pense plus à ce qu’elles veulent dire. Quand on les traduit en français, on se rend compte pourquoi elles marquent l’esprit. Voici quelques locutions mexicaines. Si vous ne les retenez pas, au moins elles vous feront sourire. Lire la suite
Florencia Valdés Andino 